« À la fin d'une dure journée » : différence entre les versions

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La journée avait été longue. Très longue. Même si j'étais encore relativement nouvelle dans [[Orgasmatron Girls|la profession]], [[Anne|je]] commençais à avoir une clientèle régulière avec des goûts assez simples et similaires (en gros, des types qui aiment se faire vibrer la prostate à la [[godemachette]] pendant qu'on leur pompe le dard). J'avais reçu à [[l'appartement]] une dizaine d'adeptes de plaisirs bucco-sodomiques depuis la matinée quand un groupe de jeunes hommes nous proposèrent, à [[Tramontina™]]<nowiki/>et [[Anne|moi]], une partie à six pour fêter la fin de leur session à l'[[Université de Vieuholle]]. J'avais donc passé une bonne heure à me faire pistonner simultanément la chatte et le cul en suçant une bite, à en branler une autre tout en bourrant un postérieur avec [[Tramontina™]], les étudiants changeant périodiquement de station au gré de leurs fantaisies et de leur état érectile. Ensuite, j'eus à peine le temps de m'éponger que [[Lulu Luv|madame Josée]], [[Anne|ma]] seule cliente régulière, m'appela pour me réclamer un cunnilinctus. [[Ma première cliente|Comme d'habitude]], elle jouit en me pissant au visage, mais elle ne lésina pas cette fois-ci sur le pourboire, alors le bilan fut somme toute positif.
La journée avait été longue. Très longue. Même si j'étais encore relativement nouvelle dans [[Orgasmatron Girls|la profession]], [[Anne|je]] commençais à avoir une clientèle régulière avec des goûts assez simples et similaires (en gros, des types qui aiment se faire vibrer la prostate à la [[godemachette]] pendant qu'on leur pompe le dard). J'avais reçu à [[l'appartement]] une dizaine d'adeptes de plaisirs bucco-sodomiques depuis la matinée quand un groupe de jeunes hommes nous proposèrent, à [[Tramontina™]]<nowiki/>et [[Anne|moi]], une partie à six pour fêter la fin de leur session à l'[[Université de Vieuholle]]. J'avais donc passé une bonne heure à me faire pistonner simultanément la chatte et le cul en suçant une bite, à en branler une autre tout en bourrant un postérieur avec [[Tramontina™]], les étudiants changeant périodiquement de station au gré de leurs fantaisies et de leur état érectile. Ensuite, j'eus à peine le temps de m'éponger que [[Lulu Luv|madame Josée]], [[Anne|ma]] seule cliente régulière, m'appela pour me réclamer un cunnilinctus. [[Ma première cliente|Comme d'habitude]], elle jouit en me pissant au visage, mais elle ne lésina pas cette fois-ci sur le pourboire, alors le bilan fut somme toute positif.


J'allais changer mon statut à «&nbsp;absente&nbsp;» sur le site [[neuronet]] d'[[Orgasmatron]] quand un homme m'appela et nous offrit cent-mille kwanzas angolais pour raser son pubis et ses testicules. N'ayant jamais utilisé ma [[godemachette]] pour des soins esthétiques, j'acceptai malgré ma fatigue – uniquement par curiosité scientifique. Le type s'en sortit avec l'appareil génital parfaitement glabre et quelques coupures de rien du tout, principalement grâce à [[Tramontina™]] et aux gestes précis qu'elle m'induisait par [[neuroconnexion]]. Il s'en serait sorti probablement sans la moindre estafilade s'il n'avait pas eu l'idée, pendant la délicate opération, de bander et d'éjaculer au moment le plus inopportun. Le type nous laissa tout de même une évaluation de trois étoiles sur cinq sur le site d'[[Orgasmatron]] en se plaignant de ses ridicules éraflures. Putain de métier, quand même.         
J'allais changer mon statut à «&nbsp;absente&nbsp;» sur le site [[neuronet]] d'[[Orgasmatron]] quand un homme m'appela et nous offrit cent-mille kwanzas angolais pour raser son pubis et ses testicules. N'ayant jamais utilisé ma [[godemachette]] pour des soins esthétiques, j'acceptai malgré ma fatigue – uniquement par curiosité scientifique. Le type s'en sortit avec l'appareil génital parfaitement glabre et quelques coupures de rien du tout, principalement grâce à [[Tramontina™]] et aux gestes précis qu'elle m'induisait par [[neuroconnexion]]. Il n'aurait probablement pas eu la moindre estafilade s'il n'avait pas eu l'idée, pendant la délicate opération, de bander et d'éjaculer au moment le plus inopportun. Le type nous laissa tout de même une évaluation de trois étoiles sur cinq sur le site d'[[Orgasmatron]] en se plaignant de ses ridicules éraflures. Putain de métier, quand même.         


Lorsque ce dernier client fut parti, j'étirai mon corps courbaturé et dis à [[Tramontina™]] en bâillant&nbsp;:         
Lorsque ce dernier client fut parti, j'étirai mon corps courbaturé et dis à [[Tramontina™]] en bâillant&nbsp;:         

Version actuelle datée du 12 avril 2024 à 02:55

Anne et Tramontina™ à la fin de leur quart de travail.
Anne et Tramontina™ à la fin de leur quart de travail.

La journée avait été longue. Très longue. Même si j'étais encore relativement nouvelle dans la profession, je commençais à avoir une clientèle régulière avec des goûts assez simples et similaires (en gros, des types qui aiment se faire vibrer la prostate à la godemachette pendant qu'on leur pompe le dard). J'avais reçu à l'appartement une dizaine d'adeptes de plaisirs bucco-sodomiques depuis la matinée quand un groupe de jeunes hommes nous proposèrent, à Tramontina™et moi, une partie à six pour fêter la fin de leur session à l'Université de Vieuholle. J'avais donc passé une bonne heure à me faire pistonner simultanément la chatte et le cul en suçant une bite, à en branler une autre tout en bourrant un postérieur avec Tramontina™, les étudiants changeant périodiquement de station au gré de leurs fantaisies et de leur état érectile. Ensuite, j'eus à peine le temps de m'éponger que madame Josée, ma seule cliente régulière, m'appela pour me réclamer un cunnilinctus. Comme d'habitude, elle jouit en me pissant au visage, mais elle ne lésina pas cette fois-ci sur le pourboire, alors le bilan fut somme toute positif.

J'allais changer mon statut à « absente » sur le site neuronet d'Orgasmatron quand un homme m'appela et nous offrit cent-mille kwanzas angolais pour raser son pubis et ses testicules. N'ayant jamais utilisé ma godemachette pour des soins esthétiques, j'acceptai malgré ma fatigue – uniquement par curiosité scientifique. Le type s'en sortit avec l'appareil génital parfaitement glabre et quelques coupures de rien du tout, principalement grâce à Tramontina™ et aux gestes précis qu'elle m'induisait par neuroconnexion. Il n'aurait probablement pas eu la moindre estafilade s'il n'avait pas eu l'idée, pendant la délicate opération, de bander et d'éjaculer au moment le plus inopportun. Le type nous laissa tout de même une évaluation de trois étoiles sur cinq sur le site d'Orgasmatron en se plaignant de ses ridicules éraflures. Putain de métier, quand même.

Lorsque ce dernier client fut parti, j'étirai mon corps courbaturé et dis à Tramontina™ en bâillant :

— Quelle journée interminable ! Tous les muscles de mon corps me font mal. Je vais enlever cette épibarrière couverte de foutre et prendre une longue ultradouche.

— Tu m'amènes avec toi ? J'ai des liquides organiques non-identifiés jusque dans mon port de recharge, me dit Tina™.

— Oui, bien sûr. Une stérilisation en règle nous fera toutes deux un grand bien.

J'étais en train de relaxer dans les micro-impulsions euphorisantes de l'ultradouche quand Tramontina™ me demanda :

— Qu'est-ce qu'on fait ensuite ?

— Je ne sais pas pour toi, mais en ce qui me concerne, je vais aller au lit avec une Eat more, un kwaa et un bon bouquin.

— Come on ! On a passé la journée au lit. Pourquoi ne pas faire quelque chose d'excitant, pour une fois ?

— Tu ne trouves pas qu'on a eu assez d'excitation pour une seule journée ?

— Meh. C'était le boulot – et crois moi, me frotter sur des mammifères pour stimuler leurs organes, ça n'a rien d'excitant.

— Tu préfères leur transpercer les organes, n'est-ce pas...

— Tu sais bien que je n'aime la bagarre qu'en cas d'auto-défense !

— Justement, il n'y a pas d'auto à défendre dans les parages, alors si tu le veux bien, je vais consacrer le reste de la journée à ne faire absolument rien.

— Mais où est donc passé ton sens de l'aventure ?

— Je ne l'ai jamais eu, ma vieille. Allez viens, je vais te mettre sur la recharge, tu l'as bien mérité.

— Pfff. No fun, maugréa Tramontina™.

Je sortis donc de la salle de bains à poil, godemachette à la main, et tombai nez à nez avec mes chats qui semblaient se préparer à sortir. Alors qu'il rangeait ses passe-partout et ses rossignols dans leur étui de cuir, Monier leva les yeux et me dit :

— Djezus ! Un peu de pudeur mesdames, je vous en prie !

— Oh ça va, le mammifère. Ne fais pas comme si tu n'en avais pas vu d'autres, siffla Tramontina™.

— Où est-ce que vous allez comme ça, les minous, demandai-je en me penchant pour caresser Garnier qui était venu se frotter sur mon mollet.

— On s'en va détrousser les bourgeois, répondit Bonnot. Vous avez envie de vous joindre à nous, camarades ?